dimanche 21 octobre 2007

Mon Second Roman


Je ne sais pas combien de personnes ont acheté mon premier roman. Très peu sans doute. Je le regrette. Même si je ne suis pas un « auteur » reconnu, cet ouvrage n’en reste pas moins un vrai travail d’écriture, avec une réflexion propre et le sens, je crois, de la narration.

Je ne peux évidemment pas obliger les gens à le lire si cela ne les intéresse pas.
Cependant, j’ai écrit un autre roman sur un ton un peu plus léger et destiné probablement à un lectorat plus jeune. Ce dernier porte le titre :

« Les Insoumis du Black Moon, l’Autre Monde » (Vol.1)


La genèse de ce roman d’aventure remonte à l’âge de mes 18 ans, alors que j’écrivais sans prétention aucune pour passer le temps durant les vacances d’été. C’est mon frère qui m’a poussé à mettre en forme cette histoire resté longtemps oubliée. Je l’en remercie aujourd’hui.
J’ai donc repris les grandes lignes de cette histoire pour en faire un véritable récit.

La volonté de coller le plus possible à la réalité a dicté chaque mot de ce livre. Le plus petit détail évoqué pour servir l’histoire est nécessairement vrai, et le vocabulaire technique employé pour les manœuvres des navires sont également choisis avec soin et je l’espère avec justesse.

Tout ce travail de recherche devait être pour moi un moyen de tenter d’élever mon écriture au niveau que j’imagine être celui des auteurs dit « reconnus ». Je ne sais pas si cet objectif est atteint. Seul mon lectorat me le dira.

http://osborne117.free.fr/web

2 commentaires:

Bluewings a dit…

Vendre des livres s'est difficile car il y'en a tellement qui sortent, et surtout à des prix fous (20 à 40€) ce qui fait que personne n'ose prendre le risque d'acheter un livre écrit par un quasi-inconnu. A moin d'avoir une fameuse publicité ça devient difficile.

Dao Humeau a dit…

C'est exact, le marché est aujourd'hui saturé. Cependant, cela ne doit pas empêcher la création littéraire ne serait-ce pour soi.

N'a-t-on pas donné la chance à un certain Stéphane King, alors parfait inconnu ?

Chaque auteur a eu sa chance. Pourquoi la refuser aux nouveaux auteurs sous prétexte que le marché est saturé ? Il faut être juste et savoir partager le domaine littéraire aujourd'hui trop cloisoné sans doute pour préserver les intérêts du petit nombre.